Des tentatives avaient été faites par le passé pour conserver l’espèce dans la région des îles volcaniques, mais elles ne s’étaient pas montrées concluantes jusqu’alors. Après avoir essayé de mettre ensemble des congénères de la tortue centenaire pour qu’elles se reproduisent, les chercheurs avaient tenté l’insémination artificielle qui avait également échouée. La principale explication avancée pour la forte diminution des représentants de l’espèce réside dans l’alimentation des pirates de la région.
Ce symbole de la biodiversité continue de vivre dans un écosystème ou environ 40 000 autres tortues sont représentées, réparties environ en 10 espèces différentes. Cet archipel est classé depuis plusieurs décennies au patrimoine mondial de l’UNESCO et renferme encore bien des secrets pour l’homme. Cette découverte est donc un signal de la richesse de la nature et de ses secrets encore renfermé en même temps qu’un beau message d’espoir pour toutes les espèces menacées d’extinction.
Mathieu Ravignan
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