Presque la totalité des départements du pays font l’objet d’arrêtés sécheresse. Le dérèglement du climat a rendu vingt fois plus probable ce genre d’évènements. Sans le bouleversement climatique en lien avec les émissions de gaz polluants, une sécheresse survenue comme cet été, arriverait en moyenne une fois chaque 400 ans, et pas chaque année. La chaleur trop conséquente de la mer Méditerranée durant la saison estivale représente un obstacle par rapport à l’absorption des gaz à effet de serre. Pire : les eaux en émettent en rejetant !
La mer Méditerranée est tellement chaude qu’elle conçoit du dioxyde de carbone !
Le dérèglement climatique a pour fâcheuse conséquence d’impacter les mers et les océans. Effectivement, ces derniers ne peuvent plus capter la chaleur engendrée par la hausse des émissions de CO2. Néanmoins, l’augmentation des températures en mer Méditerranée est tellement conséquente qu’elle provoque la conception de cristaux produisant également du dioxyde de carbone.
La mer Méditerranée va être (et est même actuellement), une victime de tout premier plan du bouleversement climatique. Une récent rapport s’attarde sur les rouages sous-tendant de la sensibilité spécifique de la zone méditerranéenne au dérèglement. Cette dernière représente les eaux du monde qui sont les premières concernées par le phénomène.
La surchauffe des mers et des océans du globe engendre une multitude d’effets secondaires, les plus réputés étant : la disparition des glaces, l’augmentation du niveau de la mer, la multiplication des vagues de chaleur sous-marines ainsi que l’acidification des océans (diminution progressive du pH des océans). Néanmoins, si on se fie au département des Nations unies « Climate Action », une multitude d’indicateurs dévoilent que les océans ne parviennent plus à procéder à l’absorption du gaz à effet de serre. Ainsi, ces derniers assurent de moins en moins leur fonction de régulateur climatique, ce qui pose problème face à un « surplus » de particules et d’éléments polluants.
La chaleur engendre la conception de cristaux de carbonate
Ce mécanisme se remarque surtout en mer Méditerranée : les eaux auraient également un rôle dans l’étape de stratification. C’est la séparation de l’eau entre différentes couches, un système déniché dans la totalité des océans et mers du globe. Cette stratification se définit par trois couches : celle de surface, l’intermédiaire et celle en profondeur. Plus le dérèglement s’accentue, plus les couches représentent un obstacle pour l’eau au niveau des mélanges, en bouleversant les échanges entre les différents éléments que sont le carbone, l’oxygène et divers nutriments.
Néanmoins, le surplus de chaleur de l’est de la mer Méditerranée durant la saison estivale ne lui permet plus d’effectuer une absorption des gaz. Encore pire : il y a un rejet de ces derniers. De quelle façon ? Au fil de la stratification de l’eau (et de la hausse du phénomène), il y a augmentation des différences de densité entre les couches océaniques : cette stratification solidifiée engendre la conception de cristaux de carbonate, qui produisent du dioxyde de carbone.
La pollution aux micro-plastiques : facteur aggravant de la surchauffe des eaux
Près de 15 % des gaz produits dans l’atmosphère au-dessus de la mer Méditerranée auraient comme source ces fameux cristaux. Un système qui pourrait prendre de l’ampleur à cause de l’augmentation régulière de la température de l’eau, mais également de la pollution qui offre la possibilité aux cristaux de s’accumuler. Ajoutons à ce phénomène l’industrialisation et la bétonisation galopantes, l’expansion du tourisme et la multiplication des établissements côtiers. Ces aspects mélangés ont engendré une hausse des eaux contaminées sur de multiples côtes de la mer Méditerranée.
À cause de l’absence de mouvements de marées et des courants de ce territoire, la pollution stagne et a du mal à se diluer, au contraire d’autres mers et océans du globe. Les scientifiques affirment que ces cristaux utilisent un noyau pour naître. Il s’agit des particules de pollution, essentiellement les micro-plastiques. Il faut dire que la mer Méditerranée est une des étendues d’eau subissant le plus ce genre de pollution sur la Terre.
Outre leur aspect nocif pour les eaux, les microplastiques sont mauvais pour la santé des humains et des animaux. C’est un réel danger pour l’environnement et la santé. Près de 10 % de la totalité des plastiques conçus depuis leur invention auraient fini leur existence dans les océans. Pour combattre le phénomène et pour jouer un rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique, voici quelques gestes à adopter : pensez toujours à utilisez un sac de course identique pour délaisser les sacs en plastique biosourcés ou compostables, opter pour le vrac, l’emballage en papier ou le carton, se servir de la vaisselle réutilisable, boire de l’eau du robinet et acheter des vêtements en coton et autres matières naturelles au lieu du synthétique.