S’il y a des prénoms qui marquent, il y en a d’autres tombés dans l’oubli qui se voient offrir une nouvelle jeunesse. De Louis à Gabriel, de Jade à Louise, tour d’horizon de ces prénoms qui percent. De ces prénoms qui, dans quelques années, égayeront nos journées par leur présence.
Les prénoms : une tendance sociétale
Le prénom, c’est là l’acte fondamental, le premier même d’un individu. Si certains marquent les esprits par leur originalité, d’autres quant à eux, petit à petit, forts de persuasion reviennent aux goûts du jour.
Si en 2019 les prénoms les plus donnés en France n’étaient autres que Gabriel et Raphaël pour ces messieurs et Emma et Jade pour ces demoiselles, il n’en sera pas – peut-être – ainsi dans un futur proche.
Car d’autres prénoms s’installent, s’harmonisent aux tendances actuelles. Et il est important de le noter, d’autant plus à une période où le prénom – plus qu’une volonté d’offrir un cadeau – s’impose comme un acte social, presque personnel de démarcation.
Les non moins fameux prénoms caméléons
Ce sont ces fameux prénoms, ces prénoms qui en 2020 fleurissent un peu partout, et dont, à mesure que le temps passe, la société ne cesse de couronner. Ils s’appellent Adam, ils s’appellent Gabriel, ils s’appellent Liam. Elles s’appellent Emma, Jade, elles s’appellent Lina, Anna, Mila. Des prénoms à la fois culturels et historiques, à la fois impersonnels et usuels. Ils sont attribuables à tous sans ambages, sans connotations, et c’est pour ça qu’ils plaisent, qu’ils dominent même ce classement.
Bien sûr ils ne sont pas les seuls à dominer ce classement. Car on y retrouvera des nouveaux, des tendances, et si Aaron et Mohamed entrent dans le top 20 côté garçons, on retrouvera des Jeanne, des Lou dans le top 20 chez les filles. Des prénoms féminin pourtant pas tout à fait dans l’air du temps, qui ont su jouer de leur côté rétro, voire démodé, pour à nouveau percer, à nouveau se faire une place dans ce classement.
Et si, au fond, il n’y a pas de règles strictes dans l’attribution d’un prénom, on s’apercevra que la majorité est formée de peu de syllabes, formée de peu de sons. En bref, bien que personnel, le prénom dans ses grandes lignes se retrouve commun à beaucoup de garçons et de filles, notamment les Emma et Gabriel premiers du classement.